Mes choix et mon positionnement

Tiens, un revenant, tu te souviens de ce papillon, symbole de transformation, qui virevoltait autour de toi sur l’île des explorateurs. On dirait qu’il revient à la charge pour te poser encore et toujours la même question : « es-tu prêt à faire le grand écart ? »
As-tu progressé dans ta réflexion ? As-tu échangé avec ta conseillère ? Qu’est-ce qui te retient encore ?
La peur financière ? Peur du changement, peur d’échouer, de ne pas être à la hauteur, de ne pas être légitime (fameux syndrome de l’imposteur), peur de décevoir…et bien sûr, (n°1 des peurs toutes catégories) : quelque soit votre peur, rassurez vous, on en a tous et on a décidé d’en faire le grand sujet de notre prochaine conférence de mars.
Il y a fort à parier que mille raisons se bousculent dans votre esprit, et ce, peu importe le stade de réflexion dans lequel vous vous trouvez aujourd’hui. “Je ne suis pas capable, j’ai passé l’âge, je n’y connais rien, il va falloir que je m’inscrive à une formation, et puis, me retrouver sur les bancs de l’école ? Je n’ai pas le temps et de toute façon, ça coûte trop cher. Et comme je n’y arriverai jamais …” Stop. Et si nous nous arrêtions un instant pour faire le tri dans toutes ces pensées négatives ?
Derrière toutes nos peurs, se cache surtout une construction mentale bien connue, celle que notre succès se mesure par des signes de richesse et d’épanouissement.
Redéfinir le sens du mot “échec”
Pour beaucoup, le mot “échec” est lourd de conséquences, de jugement sur nous, sur notre avenir, sur nos capacités. Rien que d’y penser, nous avons la boule au ventre et l’envie de nous remettre sur notre téléphone et d’oublier nos bonnes résolutions du début d’année.
Et si vous voyiez les choses autrement ? Il n’y a pas d’échecs, uniquement des expériences capables de nous faire grandir. C’est le chemin parcouru dont vous devez être fiers… Même si le résultat ne semble à première vue pas à la hauteur !
Avant de penser à désamorcer ses peurs, il faut cibler le problème et savoir les regarder en face. C’est la première étape, sans quoi rien n’est possible. Si tes peurs te conduisent à ne plus bouger et à t’enfermer dans cette zone de confort, de peur de perdre en qualité de vie, alors il faut aussi faire la liste des coûts physiques, émotionnels et financiers de ton inaction.
Et ça tombe bien car Tim Ferriss, l’auteur du best-seller La semaine de 4 heures, a proposé un exercice pertinent pour prendre du recul, affronter ses peurs et les transformer en objectifs.
Cet exercice s’appelle Mon pire cauchemar. Il se réalise en trois étapes qui permettent de :
- Mieux comprendre ses peurs et de constater qu’on a des ressources pour prévenir les difficultés et même réparer les dégâts en cas de coup dur.
- Clarifier ce qu’on espère tirer du changement, de se rappeler ce qui compte et de ce qui fait sens pour nous.
- Prendre conscience des conséquences de ce choix si on renonce à y aller.
Après cet exercice, il faudra prendre une décision éclairée, en toute connaissance de cause : continuer comme avant ou changer pour démarrer sa quête d’autre chose… On en reparlera au prochain arrêt car l’exercice Mon Pire cauchemar va probablement t’aider à mûrir ta décision…
Tu veux le découvrir tout de suite ?
Ressources :
Tim Ferriss, l’auteur du best-seller La semaine de 4 heures, propose un exercice pertinent pour prendre du recul, affronter ses peurs et les transformer en objectifs. Cet exercice d'introspection en 3 étapes nous aide à réaliser que nos peurs ne sont souvent pas aussi insurmontables qu'elles en ont l'air.
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✔ Télécharger le modèle (inclus dans le Carnet de bord)
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