Les quatre accords toltèques sont des clés simples, héritées d’une civilisation précolombienne, qui nous aident à transformer nos vies et nos relations, en espaces de liberté et de bien-être.
Les quatre accords toltèques sont des règles simples, héritées d’une civilisation précolombienne, qui nous aident à transformer nos vies et nos relations. De quelle façon ? Ils nous permettent d’identifier et challenger les sources des croyances limitantes qui nous privent de joie et créent des souffrances inutiles.
Voilà un quart de siècle que ce classique du développement personnel est paru et, pour beaucoup, il demeure l’œuvre la plus précieuse pour aider l’individu à venir à bout de ses croyances limitantes. Vous savez, toutes ces pensées que l’on a développées depuis l’enfance sous l’influence de nos parents et de notre éducation et qui ont fini par constituer notre grand « Livre des Lois ».
Le best-seller de Don Miguel Ruiz est ainsi devenu une référence pour repenser ses croyances et donc sa façon de voir et d’aborder le monde. Dans Les 4 accords toltèques, il explique que ce que nous considérons d’ordinaire comme « la réalité » ne serait en fait qu’un rêve, ou plutôt la consolidation collective de rêves individuels, transmis entre générations et prolongés par les fantasmes de chacun.
Don Miguel Ruiz a repris quatre grands préceptes issus de la tradition toltèque, permettant de vivre avec plus de sérénité. La culture toltèque (dont les Aztèques se proclamaient les descendants directs) est une civilisation qui s’est développée près de Teotihuacan (Mexique) entre 900 et 1200. Le terme « Toltèque » désigne « le maître-bâtisseur, le grand architecte ».
Considérés comme un peuple épris de sagesse, les Toltèques auraient ainsi identifié quatre contrats (les 4 accords toltèques) que le “guerrier” passe avec lui-même pour s’affranchir de l’emprise de tous ses autres engagements qui le maintiennent dans la douleur ou la souffrance :
Le premier des quatre accords toltèques insiste sur le pouvoir de l’expression orale, mais aussi de la voix intérieure qui murmure en chacun de nous. Dans la vie, on peut vite s’emporter et laisser nos mots dépasser nos pensées. Une parole juste, c’est une parole qui ne se disperse pas en mensonges, en médisances ou en calomnies.
En public, essayons toujours de choisir nos mots et expressions avec tact et minutie pour rester intègre, bienveillant et positif. Mais la parole est aussi intérieure. Une parole impeccable, c’est celle qui évite l’auto-critique permanente, les jugements et les comparaisons. Elle commence donc par faire taire le bavardage intempestif de cette voix intérieure critique, qui prétendrait juger de tout.
Le deuxième accord vous dit que ce qui se produit autour de vous est neutre : vous n’avez pas à y réagir d’une manière passionnelle parce que cela vous arrive. Vous n’êtes pas le centre du monde…
Il s’agit de ne pas prendre les évènements au premier degré, en y impliquant votre ego, quand quelqu’un vous manque de respect par exemple. Cette personne projette sur vous un conflit intérieur à elle-même qui ne vous concerne pas. Avec cette posture détachée, vous êtes engagé dans la situation, mais vous faites la part des choses : vous ne réagissez pas avec votre ego, qui n’a rien à faire dans cette affaire.
Cet accord consiste à accepter l’instant présent tel qu’il est, pour mieux pouvoir agir sur les situations qui y sont mises en scène. C’est une manière de relativiser les évènements de surface, en s’enracinant dans une expérience intérieure plus profonde.
Ne pas faire de supposition est sans soute l’accord toltèque le plus difficile à appliquer car il demande un vrai travail sur soi-même pour apprendre à ne pas projeter de choses erronées ou imaginaires. Ne cherchez pas à interpréter la réalité. En cas de doute ou de confusion : osez demander directement à l’autre d’éclaircir son point de vue en lui posant simplement des questions.
Souvent, nous « rêvons notre vie » en la vivant dans notre tête et en faisant à la fois les questions et les réponses… En osant la relation directe à l’autre, on se confronte à la réalité et on arrête de se faire des films !
Le dernier des accords toltèques peut paraitre trivial mais bien appliqué, il conduit à un certain épanouissement personnel. Faire de son mieux, n’implique pas chercher à être le meilleur tout le temps. Vouloir être parfait reviendrait à échouer fréquemment, tandis que faire de son mieux nous maintient dans une dynamique de progrès motivante.
C’est l’inverse de se mettre une pression inutile, à partir de la voix intérieure qui nous juge. Cela suppose aussi une grande exigence dans la définition de nos objectifs et de nos priorités. Nous restons ancrés dans le réel au lieu de nous réfugier dans le fantasme d’une soi-disant perfection.
Il s’agit aussi de ne pas procrastiner en reportant au lendemain ce qui peut être fait le jour-même, donc ne pas accumuler dans sa tête des choses à faire plus tard. Au contraire, vivre intensément le présent, exprimer son “être” maintenant en accomplissant, avec plaisir, les tâches qui se présentent. Tout l’inverse d’une gestion du temps habituelle.
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